L'Auberge du Scorpion Bleu

La porte de l'auberge s'ouvrie doucement, laissant passer entre vent et neige une haute silouette ...

Un homme de haute taille et au large épaule était entré sans mot dire. Enveloppé dans une chaude cape au rebord de fourrure, il l'ouvrie sommairement, exibant une armure de plaque de métal. Retirant son capuchon, son visage calme au yeux vif était encadré d'un début de barbe et d'une chevelure abondante maintenue par un tronque de métal et un bandeau de velour noir. Une lourde lance se balançait dans son dos au coté d'une longue lame à deux mains.

Marchant vers la tavernière d'un pas souple, il observa les coin et recoint de la taverne, cherchant le mal oì il ne semblait pas y avoir lieux d'être tout en s'adressant à la tavernière en déposant quelques gravillon sur le contoir.

- Gentle dame; Une bière légerte et un repas chaud je vous prie.

La tornade devenait de plus en plus grosse et tournait de plus en plus vite. Elle passa outre les ennemis du magicien et fonca droit sur la tarverne. Le Kuo Toas se fit asipirer par sa création non sans lâcher un hurlement digne des plus forts. Dix minutes plus tard, la tornade attein sa destination ultime. À la taverne, on antendit un énorme CRAK!!! puis le toit s'envola. Les table s'envolèrent et les chaises virvoltairent dans tout les sens.

L'Archaĩque encapuchoné: - Par tout les dieux...

L'étoffe claquait sous le vent ardent que créait la tempête, de même que quelques mèches sombres qui virevoltaient de tout sens, bien vite maintenu à l'ordre d'une longue, et pourtant fine, mais gantée.

- Hmm...

Osant braver la tempête, qui malgré tout était à bien des mètres de là, l'Étrangère ( qui pour le facteur distance étout le basard, ressemble plutôt à un homme de petite stature ^^ Rien qui durerait dans le désert, quoi ! ) en venait à joindre les mains, laissant couler des paroles presque silencieuse dans le but de calmer la tempête.

Courbant les épaules, question de supporter un peu mieux la force '' s'abattant '' contre elle, la jeune femme fermait les yeux, redoublant d'efforts et de concentration pour rester calme et apaiser la tempête.

S'écartant du comptoir, il levant le bras gauche, il se protéga le visage d'un amat de débris de bois chûtant des vestique qu'était le toit du scorpion bleu. Regardant la nouvelle arrivante dans la taverne battue pas la tempête, il la fixa intensément durant un momment, comm faciné par son camle et lui dit.

-Damoiselle... venez vous abriter ... l'endroit devient dangeureux.

Les prunelles s'ouvrirent toutes grandes devant la voix qui semblait l'appeller, et le regard se portait sur l'Homme l'ayant interpellé. Elle sembla rester un moment immobile, à le contempler, et sur le sens de la phrase, qu'elle décortiqua lentement... Son regard, un brin parsemé de peur, se braquait sur les débris qui retombait...

Mordant sa lèvre, sous un signe de surprise apparant, elle n'avait pas prévu ça, la '' Petite '' courru s'abriter près de l'homme.

- Merci !

le croisé se leva et regarda le ciel. Les yeux fixé vers cette tempete qui venais d'aracher le toit de l'endroit ou il se trouvais. toujours le regard perdu dans les cieux il murmura

-serais-ce un signe des dieux? si oui il est tres sombre....

Regardant la jeune damme accourrir vers lui, ils s'abritèrent bien sommairement dans un encadrement du mûr; Attendant la fin de la perturbation et se protégeant des débris, du vent et des rafalles de leurs mieux.

Suite a lapaisement de la tempete le musulman fit une priere a son dieu pour le remercier davoir survecu a ce sortilege

Droit dans la tempête, le séraphin regardait autour de lui les débris et le chaos qui l'erntourait. Avisant la tavernière abandonné à son sort, il quita son abris précaire et vola vers elle, tentant de se protégé de son mieux des dernier débris chutant.

Balayant quelque poutre comme de vulgaire fétû de paille, lui qui semblait possédé une force imence, il l'aida à se relever et vérifia qu'elle n'était pas blessé d'un regard.

- Vous allez bien? ... tout le monde vas bien?

La tempête passa enfin l'auberge. Des débrits multiples jonchaient le sol de l'auberge dont il ne restait que les quatre murs. Gisant sous un tat de bois, l'aubergiste ne montrait plus aucun signe de vie et son teint terne le provait. Étonnament, le comptoir n'avait pas bougé. Mais de l'autre côté de la sale, l'Archaïque encapuchoné était allongé sur le sol poussait son dernier souffle. Il tenait dans ses mains dénudée un petit coffret des bronze. À voir la manière dont il le gardait contre sans poitrine, on pouvait y deviner qu'il y tenait comme à la prunelle de ses yeux.


Plus loin, dans le désert, Gul'Bhar regardait le ciel d'un regard perplexe en se demandant comment avait-il pus laisser cela arrivé? Il se retourna lentement et se leva esuite pour rejoinde le mulsulman. Il tendant la main pour l'aider à se relever il lui dit:

- Aller! On a un Kuo Toas a ratrapper!

S'extirpant de sa cachette, la jeune femem jettait un regard à l'homme qui l'Avait accueillit au départ, déja en train d'aider la serveuse, et s'en allait, à une vitesse équivalente vu quelques courbatures ( on ressort pas sans rien d'une tempête de sable, je présume ), pour arriver prè de lui, les quatre pattes au sol, en tentant de lui faire les premiers soins, cherchant d'abord une blessure, bien sûre. Les yeux ternes, elle marmonnait tout bas '' Je vous en prie, revenez à nous... Ne partez pas ! ''

Soudain extirper de son état de transe, Tyranil se retourna et vis le corp presque sans vie de l'archaïque qui l'avait acceuillie. Se précipitant a ses cotés genou contre sol, il dit:

-attender! ne bouger pas trop je vais vous sortir de la!

il regarda un instant l'espece de coffre en bronze et changea rapidement son regard de direction.

-pouvez vous marcher?

Une voix invitente murmurait à l'oreille de Tyranil. Elle semblait provenir du coffret. La voix d'un homme l'insitantait à ouvrir le coffre, lui promètant gloire et fortune.

- Aller... Ouvre le... Laisse ce traître d'Archaïque mourrir, mais occupe-toi du coffre...Des richesses innombrables t'attendent à l'intérieur... Ton Salut s'y trouve... Je t'en prie fais vite...

La voix devien alors plus forte encore dans la tête de Tyranil et se montrait des plus en plus inssistente.

Un combat de conscience pouvais se lire dans les yeux de Tyranil. Puis on l'entendit murmurer

-gloire et fortune..

un Mince sourire apparue a ses levres et il prit le coffre dans ses mains et tout doucement, comme si il n'étais pas encore tout a fait d'accord avec ses actes, il l'ouvrit!

( Merci d'avoir remarqué que JE avais accouru à lui pour el soignr, vive le fait qu'on me considère comme un truc vivant. )

(disons que vous étiez là tout les deux... Et que Tyranil a ouvert tout de même le coffret)

La seule chose qui s'échappa du croffret fut une petite traînée de fumée. À l'intérieure, une pièce de Gravillons, mais d'une étrange couleur verte. Le coffre perdis toute saplandeur et devein aussi terne que l'abysse.

L'archaïque: - Pauvre fous... Qu'a-tu fais non de dieu...

Et il rendit l'âme. Sur son visage crispé de douleur, on pouvait voir l'enxièté qu'il avait au moment de sa triste fin. Une légère brise souffla sur les rescapés et s'en repartie aussitôt. Signe du départ du défun...

Le grand homme prit la piece étrange et la regarda un instant, puis il décida de guarder quand meme la boite et remis la piece a l'intérieur en guardans la boite sur lui

Une petite bestioles poilu rôdait dans les alentours de l'auberge quand une tempête le pris par surprise. C'est alors qu'aussitôt il rentra dans sa tanière qui était non loin, juste à tems d'ailleurs, car celle-ci ce dirigeait violament vers lui. Lorsque le calment fut à l'exterrieur de son petit habrit Erthan, la bestiole en question, s'acourit vers l'auberge espérent pourvoir se rendre util. Il ne possèdait pas de talents particulier mais sont coeur lui dictait d'aller aider les pauvre gens qui, peut-être était blessé, à l'interrieur de ce batiment.

Apres avoir soigneusement ranger le coffre sur lui Tyranil se reviras et c'est alors qu'il appercu la petite bestiole étrange. On pus clairement voir l'étonnement dans son regard ainsi qu'une impression de stupéfaction. comme si il n'avais jamais vu cela au par avant

Le zoreil resta figé sur place, étonné des dégâts causer à cette infrastructure et de voir les personnes gisants sur le sol. Avant d'entré il ne croyait pas qu'il resterais ainsi impuissant mais il n'était plus capable de mouvement paralyser par un étrange sentiment. Car cette créature était très timide et c'était la première foie depuis de nombreuse années qu'il avait vue des membres d'autres races. La démence qui l'avait emporté jadis lui avait fait coupé tout liens avec l'extérieur de sa tanière.

Regardant la petite créature de plus en plus profondément. Tyranil s'avanca vers le zoreil et lui dit:


-vous ne sembler pas tres bien petite créature..... Y aurais t'il un probleme?

Le zoreil pris en plein d'ésarroie, agissant sous l'impulsion, prit la fuite à l'exterrieur des débris qu'était l'auberge. Vu sa petite taille il ne courrait pas très vite il était donc facillement ratrapable. Mais que pouvait-il bien faire, sa peure était trop grande de plus sa timidité ne l'aidait guère. Alors il courrait courrait et rendu à une bonne distance de l'auberge il regarda en arrière pour vérifier si quelqu'un le suivait. C'est alors, durant ce cours moment d'attention, qu'il trébucha maladroitement car il s'était enchevêtré dans ses courtes jambes. Malheureusement il n'avait pu voir si oui ou non quelqu'un l'avait suivi.

voyans la petite créature lui tourné le dos et ainsi prendre la fuite, Tyranil ne pensa pas bien longtemps a ce qu'il allais faire, il partis a la poursuite du zoreil. Possédans de longue jambe il lui étais facile de courir et se ne fut pas bien long avant qu'il ne soit a quelque metre seulement du zoreil. Puis la petite créature trébucha en s'entremellans dans ses pieds. C'est alors qu'il s'arretas juste devans la petite créature étendue au sol. Il le prit par le cou et le leva haut dans les airs pour lui dire


-je ne t'ai jamais dit de partir petite créature, je t'est seulement posé une question

un mince sourrire s'afichat au levre du croiser


-tu vit seul a ce que je peut voir.... tu nas pas d'ami ou de famille?

Regardant Tyranil partir avec le coffre et poursuivre le petit Zoreil velue, le Séraphin se détourna de la tavernière, visiblement sans blessure grave et marcha lentement vers lumina encore à quatre pate et vers l'aubergiste sans vie sur le sol.

Posant le genoux sur le sol, il pria un momment en refermant les yeux du malheureux et placa une couverture sur le corps. Relevant son capucon de son visage carré, il regarda Lumina dans les yeux, tentant de la réconforté de son regard emplie d'une immence noblesse et d'un soupson de tristesse.

- Vous n'êtes pas blessé j'espère?

Puis, il lui tendit la main, désirant l'aider à se relever.